samedi 19 décembre 2020

LANGUES EN DANGER

Bonjour, 

J'espère que vous allez bien,

Aujourd'hui, j'ai parlé avec mon amie Jeanne des différentes langues et cultures qu'elle connaît et qui sont présentes en Nouvelle-Calédonie ou dans d'autres endroits où elle est allée, comme, par exemple, la Nouvelle-Zélande.



Pour me parler des tribus indigènes du Pacifique, elle portait une très belle fleur aux cheveux qui les représentait car elle est très typique de ces peuples. Jeanne m'a expliqué qu'en Nouvelle-Calédonie, il y a de nombreux groupes ethniques de la Polynésie et de tout le Pacifique. Elle s'intéresse également beaucoup aux groupes ethniques de la Nouvelle-Zélande et aux Sikhs, un peuple de l'Inde.



Elle m'a dit que sa langue maternelle est le français et qu'elle parle aussi l'espagnol et l'anglais, mais qu'elle ne parle pas le kanak, la langue des autochtones de Nouvelle-Calédonie, parce qu’elle n'est pas enseignée à l'école, elle a de nombreuses variantes et est très difficile à apprendre, car elle est complètement différente de la nôtre.

Cela m'a rendu assez triste, car ça m'a rappelé d'une certaine manière, la situation que nous avons avec le catalan à Valence. Car bien qu'ici les gens puissent l'apprendre, beaucoup de gens ne le connaissent pas ou ne veulent pas le parler, ce qui signifie qu'à l'avenir les langues, et donc les cultures, ont le risque de disparaître.

D'autre part, nous avons également lu l'histoire "Tha tro kö a Pitru" (La leçon du Bénitier). J'ai été frappé de constater à quel point le kanak est différent et à quel point il est impossible de comprendre quoi que ce soit écrit si l'on ne connaît pas la langue, contrairement aux langues romanes.

C’est une langue vraiment différente.

Merci à tous.

VICENT ALCAYDE GRAU

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